Certains cathos, peu disposés à accorder leur saint mariage aux homosexuels, ont sorti un argument de poids : « Tant qu’on y est, pourquoi ne pas marier les polygames et les zoophiles ? »
Marre de cette étroitesse d’esprit de certains de nos contemporains ! Oui, pourquoi pas la zoophilie ?
Je veux parler ici, non pas des bergers corses et de leurs chèvres, ce qui donne au fromage un goût trop prononcé, mais d’une catégorie dont parlait Voltaire autrefois, oui, le siècle des Lumières ne les a pas méprisés, je veux parler des « enculeurs de mouche ». (Expression littéraire.)
L’enculeur de mouche, zoophile de base, peut être un moteur actif dans notre société.
D’une part, il se satisfait de peu. Et en période de crise, ce n’est pas un mal. Par ailleurs, il est adroit ce qui peut lui ouvrir les portes des nano-technologies. (Et quand on sait que ces nanos sont sans doute des saloperies , les faire connaître l’orgasme pour les adoucir n’est peut-être pas une mauvaise idée.)
Il peut aussi jouer un grand rôle dans les partis politiques où la sodomie de l’électeur, certes couramment pratiquée va demander tout de même, dans sa généralisation, un plus grand investissement, une plus grande finesse, dans les partis.
Modeste, habile, rapide, ambitieux, frugal, soigneux, l’enculeur de mouches s’il se marie peut être un atout de notre société !
SOS
Par ailleurs, homme délicat dont on n’entend jamais parler. Aucune association « SOS mouches battues » n’a été répertoriée. Aucun viol de mouche n’est jamais signalé à la police ce qui prouve, que malgré la délicatesse de l’affaire, les droits de l’homme et de la mouche sont respectés. Ce qui n’est pas forcément le cas chez les fondus de Civitas qui n’hésitent pas à lever la main sur femmes Femen et journalistes.
Certes si on lui permet d’épouser sa mouche il faudra prévoir une clause « polygamie » car il est bien connu que « Mouche niquée, mouche explosée ». Mais n’est-ce pas un moyen économique d’éviter les problèmes de pension alimentaire et que sais-je encore ? Pour le gouvernement, fini avec les pensions de veuve de guerre !
Et la zoophilie ne date pas d’aujourd’hui. Chez les dieux Grecs, ils s’en donnaient à cœur joie !
Y-a-t-il eu dans la mythologie grecque des amours entre des dieux et des mouches ?
Bien sûr !
Et Icare ? D’où croyez-vous qu’il tenait ses ailes ?
DSK
Et Pégase ? Résultat d’une partouze entre une mouche, un cheval et DSK ! (Dieu Sous Koke.)
Non, mais à l’époque ils étaient moins coincés qu’aujourd’hui !
Et ces pédés de grecs, comme dit Merkel, c’étaient tout de même Socrate et Alcibiade !
A mon avis la dégénérescence de la race date plutôt du jour où, après avoir abandonné la reproduction par dédoublement de la paramécie, technique sympa, certes masturbatoire, mais néanmoins efficace, surtout en cas d’obésité, le hasard a laissé se développer la reproduction bi-sexuée.
Il est évident que c’est une erreur. Que les hommes et les femmes en sont malheureux, les femmes jouissant rarement lors de la pénétration d’un sexe qui ne vibre pas, ceci expliquant, par vengeance, le nombre de crétins consommés qu’elles font naître.
Et il y a des statistiques.
C‘est ainsi qu’aux Etats-Unis, récemment, des millions d’électeurs, engendrés d’hommes et de femmes, ont voté , soit pour Obama soit pour Romney, ce qui prouve, dans les deux cas, un appauvrissement irréversible de la sphère cervicale. Ce sont ensuite, aussi, des êtres issus d’hommes et de femmes, pour vous dire la déchéance, qui font des manifs avec des drapeaux dans la rue alors que des pioches ou des fourches seraient plus efficaces. Quand vont-ils comprendre ?
POPOTIN
Le zoophile, certes peut être critiqué. Mais du moins, actuellement, il ne se reproduit pas. Ce qui limite les dégâts. Voilà un moyen d’éviter la surpopulation !
Quant à l’homosexuel, être raffiné qui ne pratique le sexe que pour le sexe, ce qui prouve qu’il ne se laisse pas détourner du plaisir par des pensées médiocrement productivistes, il ne se reproduit que par des chefs-d’œuvre dont le plus conséquent est le plafond de la chapelle Sixtine !
Merci Michel-Ange le pédé, qui nous montre Dieu, sa robe rose relevée sur les fesses qui présente son popotin au désir de la création tout entière, mouches y comprises !
Je dois avouer que s’il est un spectacle qui me fait jouir un max, c’est de voir tous les cathos de la planète, réunis avec des airs inspirés sous le plafond de la chapelle Sixtine, levant les yeux vers ce dieu homosexuel qui les baise en beauté et ne se reproduit que par le génie !
Hé ! Les cathos, il vous a niqué Michel-Ange ! Vous n’avez pas vu que c’est un plafond de grande folle la Sixtine, que c’est une Gay pride in aeternam !
